notre entreprise de transports
l'histoire des transports gicquel
Avant guerre, Raymond Gicquel crée l’activité de transports à Malansac (56) en camions bennes et plateau en porteur jusqu’à son décès en 1970. Son épouse, Yvonne, reprend l’activité aidée par ses deux fils jusqu’en 1974.
En 1972, Jean-Claude rachète un camion à sa mère et se lance dans le ramassage de volailles vives pour Père Dodu principalement. Cette activité se développe et il recrute une dizaine de conducteurs .
En 1985 Jean-Claude Gicquel rejoint par son épouse Dany, crée la SARL TRANSPORTS GICQUEL. Forte d’une douzaine de conducteurs et véhicules, l’activité se diversifie et s’intensifie au rythme d’un véhicule neuf et d’un nouveau conducteur par an. Il y a toujours les ensembles dédiés au ramassage de volailles mais également des plateaux, bennes céréalières et TP afin de répondre aux clients locaux.
L’activité avicole de Père Dodu change de main et les nouveaux investisseurs imposent leur prestataire.
En 1995, David souhaitant rejoindre l’entreprise familiale, la diversification s’impose… Pour ce faire, l’activité est transférer à Saint-Abraham, situé en bordure de la RN 166.
Ainsi remaniée, l’entreprise continue d’évoluer et le transport en plateaux devient l’axe prioritaire de développement, même si l’activité benne perdure jusqu’en 2005.
En 2008, David reprend l’entreprise familiale et permet ainsi à Dany et Jean-Claude Gicquel de préparer leur retraite.



aujourd'hui
Au service des entreprises depuis plus de 50 ans, nous avons su développer une véritable savoir-faire et une maitrise de nombreux domaines d’acitvité, afin de pouvoir répondre aux besoins d’un maximum de professions.
Nous avons constitué une flotte de véhicules s’adaptant à tout type de marchandises, tous entretenus et contrôlés régulièrement.
Soucieux de notre impact environnemental, nos conducteurs suivent tout au long de l’année une formation continue sur la conduite rationnelle.
Grace aux modules de formation de CGI, spécialisés dans la formation des conducteurs poids-lourds à la « conduite économique ». Il ne s’agit plus seulement de former à l’anticipation et à l’adaptation des régimes moteurs. Nous amenons le conducteur à faire le meilleur usage possible des technologies présentes sur les véhicules.







